Commotion cérébrale ou traumatisme crânien ?

La commotion cérébrale caractérise le traumatisme craniocérébral le plus léger. La victime de commotion cérébrale est souvent atteinte d'une perte de conscience brève.

A titre d'exemple, cela se produit parfois avec des joueurs de rugby à la suite d'un plaquage. On peut l'observer également dans certains sports de combat ou dans certaines compétitions. Plusieurs commotions cérébrales répétées peuvent tout de même avoir de lourdes conséquences cliniques : troubles de la mémoire et de la personnalité, lésions cérébrales irréversibles à long terme…

Une étude intéressante menée aux Etats-Unis, révèle le lien entre des chocs répétés sur la tête (notamment ceux encaissés par les joueurs de Football Américain) et la formation d'une dégénérescence cérébrale. 

Mais ces situations ne sont pas les seules à provoquer une commotion cérébrale.

Le sort de la victime de traumatisme crânien suite à un accident ou une agression:

Lorsque l'on est victime d'un traumatisme crânien, il est important d'être complètement indemnisé de l'ensemble de ses préjudices. Le traumatisé crânien ou l'un de ses proches devra alors faire appel à un avocat de victimes indépendant. Ce dernier devra être aguéri en droit du dommage corporel et un lien de confiance devra être établi avec l'avocat pour lui confier la défense de ses intérêts. Pour une défense optimale du traumatisé crânien, il est recommandé de faire appel à un avocat également formé en matière de traumatisme crânien. L'avocat doit en effet disposer de compétences spécifiques pour accompagner et défendre au mieux la victime de traumatime cranio-cérébral suite à un accident ou une agression.

Carla GEROLAMI - Avocat de victimes de dommage corporel - DIU "évaluation du traumatisme crânien"